Webdiffusion

Philippe Meunier & Ian Yaworski

EN DIRECT

13 MARS 2021 - 19H30

EN REPRISE

15 AU 21 MARS 2021

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Une discussion avec les artistes aura lieu sur notre page Facebook le jeudi 4 mars de 12h30 à 13h.

Initialement, Accolades et quiproquos devait être le spectacle d’ouverture de la première édition de la Quadriennale de gigue contemporaine, qui devait avoir lieu du 11 mars au 22 mai 2021. En raison de la pandémie, celle-ci est reportée en 2025. Toutefois, il sera possible de visionner Accolades et quiproquos en webdiffusion.

Accolades et quiproquos a été le projet sélectionné lors de l’appel à projets Soirée Carte Blanche lancé en vue de la Quadriennale. La Soirée Carte Blanche de BIGICO s’inscrit dans une volonté de présenter de longues œuvres chorégraphiques, en parallèle aux courtes pièces du OFF BIGICO et des recherches fondamentales au sein de l’Incubateur.

 

Jury de la Carte Blanche de la Quadriennale

Ivanie Aubin-Malo
Commissaire de Tangente et chorégraphe

Lük Fleury
Directeur général et artistique de BIGICO

Katya Montaignac
Dramaturge

Marco Pronovost
Commissaire de Tangente

Philippe Meunier & Ian Yaworski

Accolades et quiproquos

Accolades et quiproquos est une invitation à pénétrer dans le processus de création des chorégraphes et permet au public de découvrir les dessous de la création, du studio de danse à la scène. Alimentée par des réflexions sur l’appartenance, l’ambivalence et l’authenticité, ce projet se veut tout d’abord une recherche sur la négociation. Titubant entre le spectacle de danse et le documentaire scénique, cette nouvelle création propose une gigue contemporaine déconstruite et un folklore alarmiste où le public est invité à voyager dans un constant aller-retour entre le studio et la scène.

60 minutes

Producteur Les Archipels

Chorégraphes et interprètes Philippe Meunier et Ian Yaworski

Artistes en création Jonathan C. Rousseau, Sébastien Chalumeau, Catherine Lafleur, Geneviève Lauzon, Philippe Meunier, Liane Thériault, Antoine Turmine, Ian Yaworski

Conseillère artistique et directrice des répétitions Jessica Serli

Dramaturge Benjamin Prescott La Rue

Compositeur Jérôme Minière

Conceptrice des costumes Cloé Alain-­Gendreau

Conceptrice des éclairages et directrice technique Karine Gauthier

Conseillère à l’entraînement Liane Thériault

Co­présenté par Tangente et BIGICO

Partenaires financiers Conseil des arts du Canada, Conseil des arts et des lettres du Québec, Conseil des arts de Montréal

Partenaires de création et de production L’Estruch (Sabadell, Espagne), Carrefour culturel de Notre-­Dame-des-­Prairies, BIGICO, Maison de la culture Marie-­Uguay, Maison de la culture Notre-Dame-de-­Grâce

Formé en danse traditionnel par l’Ensemble folklorique Mackinaw, Ian Yaworski se joint à la compagnie Zogma comme interprète en 2005, puis comme chorégraphe. Il s’intéresse rapidement à la contemporanéisation du folklore québécois. Sa polyvalence et son expérience l’ont amené à travailler avec différents artistes comme Margie Gillis, Benjamin Hatcher, la compagnie Bourask et Lük Fleury. Il collabore au théâtre avec André-Marie Coudou à titre de chorégraphe pour les pièces La fête à Jean et Skin thight. Ses oeuvres chorégraphiques ont été présentées entre autres à Tangente. Depuis 2016, il travaille avec Philippe Meunier pour la création de Monte-Charles (2017), Frictions (2018) et Suspendu au sol (2020). En 2019, il fonde avec Philippe la compagnie Les Archipels. Parallèlement à sa carrière en danse, Ian est aussi concepteur d’éclairage pour différentes productions en danse et en théâtre. Il s’intéresse principalement à la pénombre et à la relation entre le corps et la lumière.

Philippe Meunier gravite dans l’univers de la danse et de la gigue depuis plus de 20 ans, en collaborant comme interprète avec plusieurs chorégraphes et compagnies de danse, dont Benjamin Hatcher, Les Sortilèges, Zogma et Bourask. Chorégraphe depuis 2007, il présente sa vision d’une gigue contemporaine lors de différents événements, notamment lors des Biennales de gigue contemporaine (BIGICO) et à Tangente. Depuis 2016, il collabore avec Ian Yaworski sur plusieurs productions, dont Monte-Charles (Tangente), Frictions (Jouer Dehors – La DSR, CAM en tournée), JoBlo (Tangente) et Suspendu au sol (Tangente, BIGICO). En 2019, les deux chorégraphes fondent la compagnie Les Archipels. Conjugué à sa passion pour la danse, le vidéaste propose un regard novateur et créatif sur le mouvement en réalisant des vidéos pour divers artistes.

Après plusieurs années d’implication au sein du groupe Mackinaw comme danseur, professeur, puis chorégraphe et directeur artistique, c’est dans un esprit d’ouverture et de repositionnement sur sa pratique de la danse que Jonathan C. Rousseau cofonde le groupe La R’voyure en 2011, dans lequel il assure un rôle de coordonnateur, d’interprète et de chorégraphe. Entretemps, il s’implique dans la communauté de la danse traditionnelle québécoise à titre de directeur artistique des Pieds Légers de Laval (2017-2019), de chorégraphe et professeur invité dans différentes compagnies et d’administrateur au Conseil québécois du patrimoine vivant (2016-2017), à Danse traditionnelle Québec (depuis 2015) et au Centre Mnémo (depuis 2020). Curieux et passionné, il ouvre ses horizons en prenant part à différents projets de danse avec les chorégraphes Nancy Gloutnez (2013-2015), Isabelle Boulanger (2015), Chloé Bourdages-Roy (2019), la compagnie Zogma (2016-2019) et Philippe Meunier et Ian Yaworski (depuis 2016). Jonathan œuvre également comme chorégraphe au sein du mouvement de gigue contemporaine: Exercices d’improvisation à six pieds et trois cerveaux (2016), S’accorder (2017), Soirées d’improvisation giguée (2017-2019), Chorus (2019). Avant tout amoureux de la gigue et de tout ce qu’elle peut évoquer, il s’intéresse particulièrement au développement de techniques d’improvisation.

Sensibilisé très jeune aux musiques et danses internationales, Sébastien Chalumeau poursuit sa route au Québec en 2010 où il se plaît à garder un pied dans le réseau du patrimoine vivant et l’autre dans le paysage de la danse où il est interprète pour diverses compagnies et chorégraphes. Jouissant d’une formation hétéroclite et perpétuelle, il a travaillé avec Erin Flynn, Isabelle Boulanger et Benjamin Hatcher, poursuit son implication dans le milieu de la danse traditionnelle québécoise avec La R’voyure, et œuvre particulièrement dans la niche de la gigue contemporaine pour la compagnie [ZØGMA] et sous la direction de Lük Fleury et de Ian Yaworski et Philippe Meunier. En tant que créateur, il a livré trois pièces dans le cadre de différentes éditions du OFF BIGICO.

Catherine Lafleur est interprète et chorégraphe indépendante. Elle est bachelière diplômée de l’UQAM en 2005. Depuis 2009, elle a présenté son travail au Studio 303, au Théâtre MainLine ainsi que dans plusieurs lieux en salle et en extérieur dans le cadre du Festival Quartiers Danses. Parrainé par Mandoline Hybride, son travail fut dernièrement diffusé dans le réseau Accès Culture. Elle était de la distribution de Suspendu au sol des Archipels. Sa collaboration avec la compagnie se poursuit et elle travaille en parallèle sur un projet solo.

Interprète, chorégraphe et enseignante, Geneviève Lauzon a débuté son parcours en danse en s’initiant à divers styles, dont le jazz, la danse moderne, la claquette et la danse irlandaise, la comédie musicale et les danses urbaines. Artiste polyvalente, elle est détentrice d’un baccalauréat en danse contemporaine de l’UQAM et poursuit son perfectionnement en suivant des stages auprès de chorégraphes réputés, dont Frédérick Gravel, Isabelle Van Grimde et des artistes internationaux. De 2013 à 2019, elle se joint à la compagnie Sursaut, dont les œuvres jeune public l’amènent à performer à travers le Canada ainsi que sur la scène internationale. Elle collabore également avec les chorégraphes Philippe Dandonneau, Gabrielle B.-Lehouillier, Julie Lebel (Foolish Opérations), Philippe Meunier et Ian Yaworski (Les Archipels) pour des projets scéniques et in situ. Elle s’illustre dans des pièces alliant danse contemporaine, danses urbaines, gigue contemporaine, jazz et danse-théâtre sur plusieurs scènes montréalaises, dont Tangente, Festival Quartiers Danses, ZH Festival, Phenomena et Vue sur la relève. En tant que chorégraphe, Geneviève s’intéresse à l’art in situ; elle amorce une réflexion sur la relation à l’espace et au spectateur qu’elle met de l’avant dans ses projets, dont le duo Moi | ioT présenté au Québec et en France (Jouer Dehors, Festival Quartiers Danses, Maison du Québec à St-Malo). Elle poursuit présentement cette démarche in situ avec deux projets en cours de création en collaboration avec le collectif en art urbain Le Pictographe. Depuis 2007, elle se spécialise également dans la coordination et création de chorégraphies pour des événements à grand déploiement impliquant des centaines de participants (Festival Juste pour Rire, 375e de Montréal, Fête nationale). Geneviève collabore avec plusieurs ensembles vocaux (Les petits chanteurs de Laval, Les Enchanteurs) en tant que chorégraphe et metteur en scène, utilisant la création comme moteur pédagogique pour démocratiser la danse à travers un autre médium artistique.

Native de Sept-Îles, Liane Thériault incarne plusieurs postures comme artiste en danse contemporaine. Détentrice d’un baccalauréat en études cinématographiques de l’Université de Montréal (2008), puis d’un baccalauréat en interprétation de la danse contemporaine de l’UQAM (2012), elle est fascinée par les arts du mouvement et de la scène et continue de se perfectionner en suivant des stages à l’international (Allemagne, Espagne, Grèce, Belgique).  Comme interprète, elle collabore, entre autres, avec Les Soeurs Schmutt, Liliane Moussa, Anne-Flore de Rochambeau, Philippe Meunier et Ian Yaworski, Julie Lebel, Delphine Véronneau, Helen Simard et Claudia Chan Tak. Son travail chorégraphique est présenté à Montréal depuis 2015, en solo (Personne (une), Somebody) ou au sein de Mine de rien: un collectif, cofondé avec Marie Mougeolle. Liane travaille présentement sur un projet de création solo, entouré d’un volet développement de public en région. Depuis 2013, elle est membre de la compagnie Dans son salon, d’abord en tant que vidéaste, puis comme directrice des répétitions et interprète. En vidéo, elle collabore également avec La 2e porte à gauche, Helen Simard, Karenne Gravel et Tuque et Capuche [TeC].

Issu du milieu des danses traditionnelles et folkloriques, Antoine Turmine se définit comme un artiste en danse investi dans une démarche créative où le rythme, le son et le corps en mouvement sont à l’avant-plan. Titulaire d’un baccalauréat en danse contemporaine de l’UQAM et d’une maîtrise en danse, il vise à faire de sa pratique un véritable laboratoire et cherche ainsi les dispositifs et les contextes qui transforment et repousse ses manières de danser. Antoine est présent au sein des activités de la BIGICO à la fois comme interprète et comme créateur. Ses propositions se situent à la frontière d’œuvres conceptuelles et de performances sensibles.

Certifiée de LADMMI (2005), Jessica Serli est active dans le milieu montréalais de la danse contemporaine à titre d’interprète, chorégraphe et répétitrice. On l’a vu notamment dans de nombreux projets chorégraphiques dirigés par Estelle Clareton, Line Nault, Milan Gervais, Andrew Turner, Hélène Langevin, Audrey Bergeron, Amélie Rajotte, Normand Marcy, Jacques Poulin-Denis et Emmanuel Jouthe. En parallèle à sa carrière d’interprète, elle agit en tant que répétitrice et conseillère artistique auprès d’Annie Gagnon, Ian Yaworski & Philippe Meunier, Bourask et Alan Lake Factori(e). À titre de chorégraphe, elle a signé -40 Degrés (2005), Entre Deux (2008), La Fièvre (2013), Petite Faille (2015), Faille: deux corps sur le comptoir (Tangente 2016, OFFTA 2017, Réseau Accès Culture 2018).

Artiste multidisciplinaire, Benjamin Prescott La Rue se spécialise en tant que touche à tout. Passant de l’accompagnement dramaturgique en danse (Dans son salon), à l’écriture pour le théâtre (Prix CEAD 2014) ou à la conception sonore pour la danse, le théâtre et le cinéma, le jeune artiste cherche à élargir son regard sur les pratiques scéniques. Après avoir complété un baccalauréat en littératures à l’Université de Montréal, il collabore à de nombreux projets et créations à titre de dramaturge. Sa passion pour la composition musicale assistée par ordinateur l’amènera à travailler comme concepteur sonore pour la scène et l’image suite à un stage auprès de Jean Gaudreau. Dans la dernière année, il a notamment collaboré avec Le Théâtre à l’eau froide, Les Soirées 100Lux, Philippe Meunier et Ian Yaworski, Léa Tremblay-Fong, Martine Castera, Emmalie Ruest et Marie-Ève Groulx.

Jérôme Minière est un chanteur et artiste multidisciplinaire originaire d’Orléans (Fr), qui vit à Montréal depuis 20 ans. Il a fait paraître une douzaine d’albums électros et singuliers depuis 1996, qui ont récolté de nombreux prix au Canada et en Europe. Il travaille comme compositeur, auteur, réalisateur ou remixeur avec de nombreux artistes. Sa curiosité l’a aussi amené à collaborer en arts visuels, cinéma, danse, théâtre et performance. Il a ainsi travaillé à de nombreuses reprises avec Denis Marleau et UBU compagnie de création. Il est aussi le créateur de l’Épicerie Musicale. Il développe en plus ses clips vidéo et des projets hybrides avec l’artiste visuelle MP Normand. En 2014, il a publié un premier roman, L’enfance de l’art (Quai no5/XYZ). Il accompagne ses plus récents albums Dans la forêt numérique (Autoprod/2018) et Une clairière (Objet Disque/2019) d’un spectacle solo intitulé DUPLICATAS qui réunit performance, chanson, humour décalé, improvisation, poésie, arts visuels et vidéo.

Cloé Alain-Gendreau œuvre dans le domaine des arts de la scène depuis l’obtention de son diplôme, en 2009, de l’École de théâtre du Cégep de Saint-Hyacinthe. Ses réalisations sont multiples et diversifiées. Dépendamment du projet, elle est conceptrice de costumes, styliste, scénographe ou accessoiriste. Elle s’investi dans les domaines du théâtre, du cirque et de la danse et ce qui la fait vibrer plus particulièrement est la scène contemporaine. On a pu voir ses conceptions à La Chapelle avec Clap Clap (2012), Moi et une Love Letter (2013) et Cube blanc (2013); à L’espace Libre avec Tranche-cul (2014) et La singularité est proche (2017); à la Tohu avec Psy (2010), Me, myself and us (2013), Cuisine et confessions (2014), Triptyque (2015), Reversible (2016); et dans l’espace publique avec Grand coup de mauvais coups (2011), Plyball (2016) et Frictions (2018). Cloé a un intérêt particulier pour la danse. Depuis quelques années, elle collabore avec le groupe RUBBERBANDance et le chorégraphe Victor Quijada pour Fils de ville (2017), Vraiment Doucement (2018) et TWIST (2019). En 2018, elle s’est immiscée dans le monde de la gigue contemporaine avec Les manteaux su’l’lit pis les bottes dans le bain du Groupe la R’voyure (2018), Frictions (2018), Gigue in the Dark avec BIGICO (2018), Sonore/Désaccord (2019) et Suspendu au sol (2020).

Initiée très jeune à l’art visuel et à la performance, Karine Gauthier a développé sa passion pour la lumière très vite. Elle a collaboré à plusieurs réalisations de projets, et ce, dans des villes de différents pays (Barcelone, Chicago, Helsinki, Mexico, New York, Oslo, Paris, San Francisco, Sao Paulo, Séoul, Stockholm, Tokyo, Vienne…). Elle a conçu des éclairages pour Dana Michel (Lion d’argent, Biennale de Venise 2017), Clara Furey, Nicolas Cantin, Daina Ashbee , Gérard Reyes, Marie B, Alan Lake Factori(e), Estelle Clareton (prix Parcours danse 2019), Audrée Juteau, Andrew Turner, Andrew Tay, Sarah Élola, Maria Kefirova, Emmanuelle Calvé, Elsianne, Suzanne Miller & Allan Paivio, Blanca Arrieta, Fredéric Marier, George Stamos, Caroline Laurin-Beaucage et Martin Messier. Elle navigue aussi entre les arts du cirque et la musique avec les artistes Marco Calliari, la NEF, Throw2Catch et Krin Haglund. Elle participe aussi à la coconception d’Émile Proulx-Cloutier et Florence K avec le concepteur Jean-François Couture. De plus, elle a assuré la direction technique pour plusieurs compagnies de danse à Montréal. Elle a de plus tourné avec les artistes Richard Séguin et Jorane. Après 20 ans de carrière, Karine Gauthier est toujours aussi passionnée par cette voie lumineuse.

Formés auprès d’ensembles folkloriques et ayant collaborés avec différents créateurs fusionnant la danse contemporaine aux arts traditionnels, notre parcours nous a amenés à avoir un intérêt marqué pour la contemporanéisation du folklore québécois. Depuis plusieurs années, nous élaborons un vocabulaire gestuel et rythmique qui repose sur la déconstruction de la gigue traditionnelle québécoise et sur l’exploration du folklore dans une esthétique contemporaine. Dans un univers où la danse contemporaine peut avoir multiples facettes, nous explorons une gigue qui n’est pas que sonore mais aussi mouvement.

En constante évolution due à la situation exceptionnelle actuelle, nous prenons d’assaut, avec beaucoup d’humilité, cet épique duo originalement créé par et pour huit interprètes. Non, il ne sera pas question de COVID, ni de confinement ou de solidarité. Il sera question de respect, de bienveillance, d’amitié et d’amour, d’humour et – bien entendu – de résilience. Un duo qui se touche. Le processus de création d’Accolades et quiproquos est parsemé de dix cennes sur lesquels nous «spinons» comme jamais et qui poussent notre réflexion sur notre pratique, notre métier. No drama over the rainbow…

Une coprésentation avec